Voici un article que je trouve intéressant, et qui met le doigt sur une pratique en zone grise, légalement. Mais parce qu’un utilisateur de la plateforme a trouvé un public (320k followers), il a donc une audience à vendre et donc se retrouve rémunéré pour son « travail » (de la part de Twitter/X en l’occurrence, qui a tout intérêt à garder ses utilisateurs captifs, sans « suivre un lien »).
Cette pratique pose évidement des questions de déontologie (mais quel médias ne s’est jamais fait prendre la main dans le sac du « non-citage de sources » ?) et in fine économiques, puisque un utilisateur réussit à monétiser pour son propre compte ce que des journalistes n’arrivent pas/plus à faire pour celui de leur propre média …
Et si ces mêmes journalistes, sur le payroll d’un média, s’emparaient de cette mécanique pour alimenter des flux dédiés, avec les codes de la plateforme ? Twitter/X se retrouverait à financer par effet de bande un média « legacy » (comme le fait déjà depuis des années Google avec son fond pour le Journalisme) …
Tu vois d’autres façons dont les médias et les journalistes pourraient « faire du judo » avec ce phénomène ? Tu le fais déjà et tu as un retour d’expérience qui pourraient être utile à des confrères ? Je serais ravi d’en discuter avec toi :-)